mardi 2 février 2010

Opération mains propres à N'Djamena

"Nous avons décidé de tirer la sonnette d'alarme sur les gaspillages et les détournements de biens publics.[...] La pression sera maintenue en 2010", a prévenu le président Idriss Déby Itno dans ses voeux de début d'année. Depuis, les mises en accusation se succèdent à N'Djamena.
Le 11 janvier, la Cour suprême a saisi le Parlement d'une demande de mise en accusation de six ministres pour e détournement d'un marché public de livres scolaires.
L'autre cible de cette opération mains propres a été le maire de N'Djamena, Mahamat Zene Bada, inculpé pour"faux et usage de faux" et incarcéré le 12 janvier.
Dans l'affaire, les livres scolaires, non seulement les ministres auraient reçu des pots-de-vin mais les manuels n'auraient même pas été livrés. Sont notamment mis en accusation Gata N'Goulou, ministre des Finances et du Budget, Abderamane Koko, à l'Education, et N'Gombaye Djaïbé, à la Santé publique.
Mahamat Zene Bada, ancien ministre jadis proche de la présidence, était peu apprécié pour son zèle lors des opérations de "déguerpissemnt" dans la capitale tchadienne. Il est accusé d'avoir participé avec d'autres agents municipaux à un détournement de près de 3 miliards de F CFA(4,5 millions d'euros), payés à des sociétés fictives entre 2006 et 2009. Ses avocats contestent, arguant que le maire n'est arrivé aux affaires qu'en avril 2007. A l'approche des élections législativess et municipales, qui ont été fixées par la Ceni au 28 novembre et au 1écdécembre 2010, les autorités tchadiennes semblent vouloir s'attirer la faveur des électeurs en s'attaquant à quelques personnalités impopulaires.

Elections

N'DJAMENA, 28 jan 2010 - L'Assemblée nationale du Tchad a accepté jeudi à N'djaména la mise en accusation pour corruption par la justice de trois membres du gouvernement sur un total de six, a constaté un journaliste de l'AFP. L'Assemblée nationale, saisie d'une requête de la Cour suprême, a examiné chaque cas et autorisé la mise en accusation des ministres Abderamane Koko (Education nationale), Limane Mahamat (Secrétaire général du gouvernement), et du secrétaire d'Etat aux Finances chargé du Budget, Oumar Boukar Gana. "Les ministres mis en accusation sont suspendus de leur fonction dès cet instant", a déclaré le président de l'Assemblée nationale, Nassour Guelengdouksia. "Le Procureur auprès de la Haute Cour de Justice sera saisi dès demain (vendredi) des résultats du vote", a-t-il ajouté. Les députés ont rejeté la mise en accusation des ministres Gata Ngoulou (Finances), du Dr Ngombaye Djaïbé (Santé publique) et de la Secrétaire d'Etat à l'Alphabétisation Khadidja Hassaballah. Selon le rapport de la commission parlementaire chargée du dossier, dont l'AFP a obtenue copie, "les charges (de corruption) sont supposées déterminantes" pour les trois membres du gouvernement dont la mise en accusation a été acceptée. Ces allégations "ne sont pas supposées déterminantes" pour leurs trois autres collègues.
N'DJAMENA, 28 jan 2010 - L'Assemblée nationale du Tchad a accepté jeudi à N'djaména la mise en accusation pour corruption par la justice de trois membres du gouvernement sur un total de six, a constaté un journaliste de l'AFP. L'Assemblée nationale, saisie d'une requête de la Cour suprême, a examiné chaque cas et autorisé la mise en accusation des ministres Abderamane Koko (Education nationale), Limane Mahamat (Secrétaire général du gouvernement), et du secrétaire d'Etat aux Finances chargé du Budget, Oumar Boukar Gana. "Les ministres mis en accusation sont suspendus de leur fonction dès cet instant", a déclaré le président de l'Assemblée nationale, Nassour Guelengdouksia. "Le Procureur auprès de la Haute Cour de Justice sera saisi dès demain (vendredi) des résultats du vote", a-t-il ajouté. Les députés ont rejeté la mise en accusation des ministres Gata Ngoulou (Finances), du Dr Ngombaye Djaïbé (Santé publique) et de la Secrétaire d'Etat à l'Alphabétisation Khadidja Hassaballah. Selon le rapport de la commission parlementaire chargée du dossier, dont l'AFP a obtenue copie, "les charges (de corruption) sont supposées déterminantes" pour les trois membres du gouvernement dont la mise en accusation a été acceptée. Ces allégations "ne sont pas supposées déterminantes" pour leurs trois autres collègues.

Tchad: L'Assemblée nationale du Tchad a accepté jeudi à N'djaména la mise en accusation pour corruption par la justice de trois membres du gouvernemen

N'DJAMENA, 28 jan 2010 - L'Assemblée nationale du Tchad a accepté jeudi à N'djaména la mise en accusation pour corruption par la justice de trois membres du gouvernement sur un total de six, a constaté un journaliste de l'AFP. L'Assemblée nationale, saisie d'une requête de la Cour suprême, a examiné chaque cas et autorisé la mise en accusation des ministres Abderamane Koko (Education nationale), Limane Mahamat (Secrétaire général du gouvernement), et du secrétaire d'Etat aux Finances chargé du Budget, Oumar Boukar Gana. "Les ministres mis en accusation sont suspendus de leur fonction dès cet instant", a déclaré le président de l'Assemblée nationale, Nassour Guelengdouksia. "Le Procureur auprès de la Haute Cour de Justice sera saisi dès demain (vendredi) des résultats du vote", a-t-il ajouté. Les députés ont rejeté la mise en accusation des ministres Gata Ngoulou (Finances), du Dr Ngombaye Djaïbé (Santé publique) et de la Secrétaire d'Etat à l'Alphabétisation Khadidja Hassaballah. Selon le rapport de la commission parlementaire chargée du dossier, dont l'AFP a obtenue copie, "les charges (de corruption) sont supposées déterminantes" pour les trois membres du gouvernement dont la mise en accusation a été acceptée. Ces allégations "ne sont pas supposées déterminantes" pour leurs trois autres collègues.

dimanche 8 novembre 2009

BONJOUR les Tchadiens!

mardi 27 mai 2008

ALERTE AU BLED

Une attaque imminente de la part du Soudan par les rebelles Tchadiens pointe à l'horizon.
Selon certaines informations le général soudanais, a battu le rappel des grands maîtres de l'armée, des fonctionnaires à l'étranger et des renseignements extérieurs pour réfléchir à une attaque d'une ampleur qui pourrait selon leurs rêves les débarrasser de leur ennemi intime DEBY.

samedi 3 mai 2008

AU PAYS DE L'ONCLE DEBY

LE PAYS DE L’ONCLE DEBY,

Tel est la devise des frères ERDIMI.

Ils sont connus grâce à qui l’on sait. Ils se sont rendus célèbres grâce à qui l’on sait.

Ils se sont enrichis...

Aujourd’hui, ils sortent l’épée, non sans moins d’interrogations, c’est le glaive, qu’ils sortent, l’artillerie lourde .Au nom du pauvre peuple Tchadien qui croule sous la chaleur que leur fait subir dame nature. Sauve qui peut…

Mais toujours contre le tonton. Il n’ y a pas pire que les querelles familiales.

PAUVRE, et oui, pauvre peuple tchadien, qui n’a pas de garages souterrains comme naguère, ses frères jumeaux, qui n’a pas de villas à 50 millions comme nos jumeaux nationaux.

Gémellité quand tu nous tiens.

Pour parler sérieux, nos frères également, feraient mieux de revenir au bercail et conseiller le cher tonton car, le navire coule pour toute la communauté et la moindre absolution sera difficile.

Si l’on doit juger le tonton, ce serait toute la famille y compris les neveux influents à l’heure époque, toute la communauté, tout le système. Et Oui, Mahamat Ali Abdallah ne pourrait être le seul à être jugé. Il fait partie d’un système. Une commission pardon et vérité en quelque sorte.

Comme je l’ai vu dans un article sur le site de Makaïla NGEUBLA, le TCHAD n’est pas une nation. Il est composé de plusieurs communautés diverses et disparates. Culturellement différentes, et l’on ne pourrait faire l’économie de crever l’abcès en pointant certains qui pensent en être les propriétaires par la kalach. La danse des canards en permanence, arrivée des rebelles, pillage, éléments incontrôlés, meurtres, règlements de comptes, promesses d’unité et enrichissement, vidage du trésor public à l’ultime bataille et trois petits tours et puis s’en vont… Le règne de la kalachnikov où ce géni n’a pu venir contempler le triomphe de son joujou inventé.

Pauvre famille mise en avant par personnes interposées et victime de représailles pour cause d’être resté auprès du tonton ! Du sang que du sang.

Quel cynisme de s’être accommodés des crimes, pillages, mauvaise gouvernance et tiens donc, ne pas s’en apercevoir sans discontinuer pendant 15 ans.

Le peuple ne demande pas aux rebelles de l’aider, car il est déjà agonisant mais plutôt de faire son mea culpa.30 ans c’est énorme. C’est ainsi que le TCHAD avancera. Le TCHAD en a marre de ces rebelles qui tuent, pillent, détruisent vont et reviennent, dilapident en son nom.

Retroussons les manches et au travail, la démocratie ne s’obtient jamais par les armes, c’est plutôt la révolution. Mais les enfants de la révolution se dévorent ensuite, l’exemple pratique nous en a été donné, pas plus tard qu’en février. La coalition a été incapable de trouver un lecteur pour communiqué !

La démocratie se fera par l’éducation des masses à partir de notre terreau culturel.

Tonton n’est pas pressé de céder les rênes, les jeunes impatients de s’emparer du trône, les opposants ne se comprennent plus, les marchands de rêve prospèrent, et les braves gens méconnaissables et calomniés. Amenons tout ce monde à la responsabilité et à la raison.

Ragots par ci, ragots par là…

VIVE LE TCHAD !

DAROCHA

chaisette@yahoo.fr